La réponse se trouve dans notre étude de marché. Lorsque nous la réalisons, nous nous rendons compte que de nombreux(ses) consommateur(trice)s se sont mis à réaliser leur propres cosmétiques, ou aimeraient le faire. Leurs volontés ? : éviter les produits dangereux, éviter le plastique, puis le côté ludique de la chose. Pourtant, l’expérience d’Anouck en formulation cosmétique lui permet de savoir que faire ses produits, ce n’est pas si anodin ! Les ingrédients ne sont pas moins dangereux si on les utilise soi-même, certains ingrédients vendus bruts peuvent même être plus dangereux lorsqu’ils ne sont pas travaillés. De plus, si on rate son DIY, le produit final peut être nocif, s’il est mal conservé par exemple, c’est pour cela qu’il est toujours plus sur d’être accompagné, en participant à un atelier par exemple, ou de commencer par fabriquer des produits dits simples. Quid du plastique et des déchets ? Lorsque nous avons demandés aux adeptes du DIY leur mode de fonctionnement, nous avons repéré que la plupart d’entre eux/elles, s’approvisionnaient en matières première en les achetant dans des contenus séparés. Une bouteille en plastique pour l’huile végétale, un pot en plastique pour le tensioactif, et tout autant de suremballages pour Lire plus
